Le dispositif d’accueil aux urgences de la Polyclinique de la Clarence à Divion évolue pour ce week-end ⚠️

 Afin de permettre aux patients d’être pris en charge dans des conditions optimales de sécurité 

L’appel au 15 est indispensable pour accéder aux urgences de la Polyclinique de La Clarence à Divion :

Du samedi 24 août (8h30) au lundi 26 août (8h30)

Pour ces dates, les patients sont invités à contacter en priorité leur médecin traitant ou le médecin de garde. 

Ce dispositif régulé des urgences ne concerne pas les urgences obstétricales et gynécologiques, que les équipes continuent d’assurer.

 

Célébration et Reconnaissance : Honneur au Personnel

À l’issue de la cérémonie des vœux de la Polyclinique de La Clarence, un moment particulier a été dédié à la mise à l’honneur de membres exceptionnels du personnel lors de la remise des médailles du Travail.
 
🎖 Médailles d’Honneur :
Médailles d’argent (20 ans) : Nathalie MIS
Médaille de vermeil (30 ans) : Dominique DENIS
Médailles d’or (35 ans) : Annie MARTEL, Christine GUAQUIERE, Marie-Laure FOQUE, Carole STRYCHAREK, Nadine GUILBERT
 
🎓 Départs à la Retraite : Nathalie BOULINGUEZ, Dr Arnaud CREPY, Dr Michel NISET, Benoît DENISELLE, Dr Patricia MODAINE, Marie-Laure FOQUE, Dany JANIAK, Carole STRICHAREK, Véronique TOUBEAU, Sylvie DEVILLAINE, Martine PIWEK, Christine FEREZ
 
Un moment émouvant pour exprimer notre gratitude envers ces personnes dévouées. 🙌💐 Merci pour vos années de service et félicitations pour cette étape bien méritée! 🎊🌟

Octobre Rose

#OctobreRose

Dans le cadre d #’octobre rose, les chirurgiens gynécologues du Groupe AHNAC prennent la parole dans une web-série de 8 épisodes spécialement conçue pour :

  • sensibiliser à l’indispensable prévention du cancer du sein (chiffres, facteurs de risque, dépistage, mammographie)
  • présenter la façon dont on soigne le cancer du sein et les soins de support
  • présenter la reconstruction mammaire

En ce mois d’octobre, tous les 3 à 4 jours, un épisode sera posté sur Facebook et LinkedIn. A ne pas manquer !

Merci aux Docteurs Borja de Mozota , Meghelli, Smail et Viala   pour leur engagement !   

Bientôt octobre rose !

Comme chaque année, le Groupe AHNAC se mobilise au travers de ses 2 polycliniques (Polyclinique de la Clarence à Divion et Polyclinique d’Hénin-Beaumont) pour sensibiliser tout un chacun au cancer du sein et à l’importance vitale de sa prévention. De nombreuses animations sont prévues dans l’un et l’autre des établissements.  Rejoignez-nous nombreux et partagez cette cause avec tous vos proches !

Téléchargez le programme

Bienvenue à Manon et Arthur

accueil

La Polyclinique de La Clarence a le plaisir d’accueillir Manon, interne en médecine générale, et Arthur, interne en chirurgie orthopédique et traumatologique. Souhaitons-leur un plein épanouissement tout au long de leurs six mois de stage !

Des abeilles à la Clarence

Maxime Niemier, chef de bloc de la Polyclinique de La Clarence à Divion (Groupe AHNAC) est également passionné d’apiculture.

Dans le cadre de la politique RSE du groupe AHNAC, il vient d’installer deux ruches dans l’espace vert qui entoure l’établissement. Aux couleurs du Groupe AHNAC, elles abritent des abeilles Buckfast. Il s’agit d’une espèce hybride anglaise que l’on doit au Frère Adam. Ces abeilles sont réputées pour leur résistance aux maladies et au froid.

En pleine saison, l’effectif d’une ruche peut atteindre les 50 à 60 000 insectes. De la mi-avril à la fin du mois de juillet, les butineuses profiteront de la riche végétation alentours pour produire du miel toutes fleurs. La clinique pouvant être comparée à une véritable ruche, ce sera à la direction de l’établissement de définir comment sera utilisée la production (environ 40 kilos) de ces nouvelles recrues !

Les docteurs Mathilde Favre et Amélie Nobecourt, gastro-entérologues, mobilisées pour Mars Bleu

Mars Bleu c’est le mois du cancer colorectal, c’est-à-dire le cancer du gros intestin ou du rectum.

Ce cancer touche chaque année plus de 43 000 personnes, soit près de 120 cas diagnostiqués par jour.

En France, le cancer colorectal se situe au 3ème rang des cancers (20 % de tous les cancers) après le cancer de la prostate et celui du sein. Il représentait la 2e cause de mortalité par cancer avec 17 000 décès en 2018.

Ce cancer se développe à partir d’une lésion bénigne mais pré-cancéreuse qu’on appelle le polype adénomateux. Le polype adénomateux est une prolifération de cellules anormales qui va progressivement grossir au fil des ans, généralement dix ans, pour devenir parfois un cancer.

Le cancer colorectal et les polypes coliques peuvent être découverts précocement et traités efficacement grâce au dépistage.

Malheureusement, la participation au dépistage du cancer colorectal est trop faible, de l’ordre de 33% environ.

Pourtant, lorsque ce cancer est diagnostiqué à un stade précoce, il peut être guéri dans 9 cas sur 10.

Quels sont les facteurs de risque de cancer colorectal ?

L’âge augmente le risque de développer un cancer du côlon : 9 personnes atteintes sur 10 ont plus de 50 ans.

Un antécédent familial de cancer du côlon ou du rectum est également un facteur de risque.

Les habitudes de vie sont aussi en cause :

Le risque de développer un cancer du côlon est augmenté chez les personnes atteintes de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (comme la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique), ou de certaines maladies génétiques (par exemple la polypose adénomateuse familiale ou le syndrome de Lynch ou HNPCC).

Comment dépister les polypes coliques et le cancer du côlon ?

1/ Si vous avez entre 50 et 74 ans,

pas de symptôme digestif

et pas d’antécédent de polype colique ou de cancer chez vous ou chez un membre de votre famille :

Une invitation par courrier vous est adressée tous les 2 ans pour réaliser un prélèvement de selles à domicile au moyen d’un « kit de dépistage », à renvoyer ensuite par courrier pour être analysé.

Ce test est simple, rapide à faire et pris en charge à 100% par l’Assurance Maladie.

Ce test peut être aussi obtenu :

Le résultat du test est généralement disponible dans les 15 jours.

Dans la grande majorité des cas, le test ne détecte rien d’anormal et vous pouvez le refaire deux ans plus tard.

Si le test est positif, une coloscopie doit être réalisée dès que possible.

La coloscopie est l’observation de l’intérieur du rectum et du gros intestin. Cet examen est fait par un gastro-entérologue, grâce à un endoscope introduit par l’anus, sous anesthésie générale le plus souvent.

La coloscopie pourra révéler des polypes, souvent retirés pendant l’examen, ou un cancer, diagnostiqué après biopsie.

2/ Si vous avez des antécédents personnels ou familiaux de polypes coliques

ou de cancer colorectal

ou des symptômes digestifs : douleurs abdominales, sang dans les selles, troubles du transit.

Il faut d’emblée consulter un gastroentérologue pour discuter de réaliser d’emblée une coloscopie.
3/ Si vous avez plus de 74 ans, pas d’antécédent et pas symptômes, vous pouvez demander à votre médecin de bénéficier d’un suivi personnalisé.

Journée internationale du sommeil : découvrez le Laboratoire du sommeil de la Polyclinique de La Clarence, à Divion

Dans le cadre de la Journée internationale du sommeil, le Groupe AHNAC vous fait découvrir le Laboratoire du sommeil de la Polyclinique de La Clarence, à Divion.

L’incidence des troubles du sommeil sur la vie sociale, professionnelle et personnelle des personnes qui en souffrent les amène à consulter pour, bien souvent, de la fatigue chronique, de la somnolence, de l’irritabilité.

Grâce au mécénat, la Polyclinique de La Clarence dispose depuis 2019 d’un Laboratoire du sommeil. Il s’agit de six chambres, situées dans une aile calme du bâtiment, dédiée à ces hospitalisations de nuit pas comme les autres.

Les patients entrent en milieu d’après-midi et sont préparés avec des capteurs, posés sur la tête, le menton, les jambes, les abdominaux. Le lendemain, leur nuit est décryptée par les médecins qui analysent les tracés recueillis, et tentent de pointer les anomalies du sommeil : respiratoires, cardiaques, psychologiques, neurologiques…

« Il ne faut pas hésiter à en parler à son médecin généraliste quand on a des problèmes de sommeil chroniques. On ne s’en rend pas toujours compte, mais quand on présente des pauses, des ralentissements de la respiration plusieurs fois par nuit, cela déstructure les phases de sommeil et provoque de la fatigue chronique. On pratique ici la polysomnographie : examen de référence dans le dépistage des troubles du sommeil associant des paramètres cérébraux et respiratoires, et la polygraphie, mesure de la saturation et des mouvements respiratoires uniquement », explique Denis DEPRET, cadre de santé. 

Le spécialiste qui a adressé le patient le revoit après l’examen pour mettre en place la thérapie adéquate. Souvent, il s’agit d’un appareillage avec une machine à pression positive continue (PPC), qui permet de garder les voies aériennes ouvertes. Un appareil autour duquel se cristallisent parfois beaucoup d’idées reçues.

C’est là qu’intervient Jean-Philippe LEFORT, technicien respiratoire de la société SOS Oxygène, basée à Éleu-dit-Leauwette. Cette entreprise fait partie des mécènes du Labo du sommeil. Elle a participé à hauteur de 30 000 € sur trois ans, à la réfection des chambres et leur équipement. « Nous avons répondu positivement à l’invitation du groupe AHNAC, du fait de notre activité et de notre position géographique », précise Frédéric Carnevale, responsable commercial.

Le lien entre le médecin et le technicien qui se rend à la Polyclinique pour équiper le patient d’une machine à pression positive continue*, lui permettent de bien se soigner et de lever rapidement les freins psychologiques. Une machine silencieuse et un réglage personnalisé permettent au patient de trouver le bon équilibre entre l’efficacité et le confort. La machine, reliée à une plateforme de télésuivi, permet au médecin de suivre les données et au technicien d’intervenir rapidement si le patient cesse de l’utiliser. « Je l’appelle deux jours après l’installation, je lui rends visite à domicile une semaine après. S’il y a le moindre problème, je reviens. Chez certains patients, je fais presque partie de la famille. Il faut expliquer, rassurer. Parfois, la vie des couples est en jeu ! »

Entre le Labo du sommeil de la Polyclinique de La Clarence et la médecine de ville, une relation forte s’est tissée. « C’est dans la culture du Groupe AHNAC. Des médecins pneumologues libéraux prennent rendez-vous ici pour les examens de leurs patients et quelques-uns de nos médecins sont en temps partagé, à la fois libéraux et salariés », ajoute Denis DEPRET.

Le Laboratoire du sommeil assure également, pour la Médecine du Travail, les examens de maintien d’éveil. Ce test doit être utilisé pour évaluer la capacité d’une personne à rester éveillée lorsque son hypovigilance constitue un problème de sécurité publique ou personnelle. Ils sont alors reçus en journée, et placés dans des conditions propices à l’endormissement (après le repas, dans la pénombre…) pour mesurer s’ils ont des épisodes de somnolence. Ils bénéficient d’une polysomnographie la nuit et restent ensuite pour le test.

Grâce au mécénat, une infirmière, Julie GOGULSKI, a pu se former et obtenir son diplôme de technicienne du sommeil. Elle est depuis l’infirmière dédiée au Laboratoire du sommeil.

Au sein du groupe AHNAC, la prise en charge des troubles du sommeil est également assurée à la Polyclinique d’Hénin-Beaumont et à la Clinique Teissier de Valenciennes, établissement de référence en pneumologie.

*Équipement et service pris en charge par la Sécurité Sociale

Mars Bleu à Divion : Présentation de la prise en charge multidisciplinaire pour le cancer colorectal sans dépassement d’honoraires

Dans le cadre de Mars Bleu, mois de prévention des cancers colorectaux, le Groupe AHNAC vous propose de découvrir la prise en charge multidisciplinaire, sans dépassement d’honoraires, proposée à la Polyclinique de La Clarence à Divion.

DES SPÉCIALISTES À VOTRE ÉCOUTE

Les Drs Sylvie DEWAILLY, Loïc GAUDUCHON et Cécile SKRZYPCZYK, chirurgiens viscéraux, assurent la prise en charge de tous les cancers colorectaux et de leurs éventuelles métastases hépatiques. Ils travaillent en étroite collaboration avec les spécialistes d’un centre de cancérologie de pointe, ainsi qu’avec les gastro-entérologues de la Polyclinique de La Clarence. Ils font également équipe avec les anesthésistes spécialement formés à ce type d’intervention. Pour le bien-être du patient, un complément d’anesthésie loco-régionale peut être proposé pendant l’opération. La majorité des interventions sont mini-invasives : effectuées sous cœlioscopie, elles donnent lieu à des suites simples.

UNE PRISE EN CHARGE PLURIDISCIPLINAIRE

La Polyclinique de La Clarence à Divion dispose de matériel de pointe sur le plan technique (radiofréquence hépatique), mais apporte aussi au patient une prise en charge bienveillante, le personnel étant formé spécifiquement à la prise en charge en cancérologie.

Le patient est accompagné dans chaque étape de son parcours de soin, grâce à une équipe pluridisciplinaire : infirmière de consultation d’annonce, stomathérapeute (stomies), psychologues, hypnothérapeute. Les rendez-vous sont tous pris sur place pour le patient, ce qui rend la prise en charge rapide et optimale et lui évite un stress supplémentaire. Par exemple, les rendez-vous d’imagerie, avec du matériel de toute dernière technologie (2 scanners, 2 IRM).

De plus :

  • une préhabilitation est assurée par les diététiciennes et psychologues pour préparer le patient avant l’opération (alimentation, cardio…) ;
  • l’hypnose est possible dans le service, en cas d’hospitalisation, ou au bloc, où l’hypnothérapeute aide le patient à se détendre avant l’intervention ;
  • pour plus de confort, l’établissement dispose d’une offre de chambres individuelles ;
  • le suivi oncologique est assuré à la Polyclinique de La Clarence.

LE MESSAGE DES CHIRURGIENS VISCERAUX

« Si vous avez remarqué des saignements dans vos selles, si vous souffrez de troubles digestifs (ralentissement du transit, alternance de diarrhées et de constipation…), consultez rapidement », insiste le Dr Sylvie Dewailly. « Le test de dépistage qui détecte le sang dans les selles n’est pas fait pour les gens qui présentent des symptômes ! »

Le Dr Cécile SKRZYPCZYK ajoute : « Il n’y a pas de limite d’âge dans la prise en charge du cancer colorectal. Même si l’on est très âgé, on peut bénéficier d’une chirurgie curative. N’hésitez pas à venir nous voir ! »

« Nous dispensons des soins intensifs sur place et pouvons accueillir les patients fragiles en convalescence dans des conditions optimales », précise le Dr Loïc GAUDUCHON.

Prise de rendez-vous : 

03 21 54 90 34 (chirurgie viscérale),

03 21 54 90 18 (gastro-entéro-hépatologie)

ou sur Doctolib.

Un plateau d’imagerie complet à la Polyclinique de La Clarence (Divion)

La Polyclinique de La Clarence disposera prochainement d’un plateau technique complet d’imagerie, avec l’arrivée d’un 2e IRM dans les locaux du Groupe Imalliance.

Il s’agit d’un IRM 3 Tesla, spécialisé pour la neuroradiologie, l’ostéo-articulaire, et l’imagerie de diffusion en cancérologie. « L’orientation des patients vers l’un ou l’autre des appareils dépend de leur pathologie. Sur l’IRM 1,5 Tesla qui reste la meilleure technique pour l’imagerie du cœur, digestive et pulmonaire. Pour les autres pathologies, ils seront dirigés vers l’IRM 3 Tesla », explique le Docteur Laurent PETYT, médecin radiologue et co-gérant du Groupe Imalliance. « Nos quatre médecins radiologues ont tous une sur-spécialité. Ils sont tous d’anciens chefs de clinique du CHU de Lille, établissement avec lequel nous travaillons en partenariat. » Le 3 avril, les travaux seront terminés et le nouvel IRM sera mis en service.

À la Polyclinique de La Clarence, la prise en charge en radiologie est assurée H24.